Avoir un grand frère serait associé à un développement plus lent du langage

Plusieurs études avaient déjà démontré que les enfants ayant un aîné ont de moins bonnes performances linguistiques que ceux n’en ayant pas. Mais une équipe de recherche du CNRS, de l’hôpital Robert-Debré AP-HP, de l’EHESS, de l’ENS et de l’Inserm vient de préciser ce résultat : il ne concernerait que les enfants ayant un frère aîné. Ces travaux ont été publiés le 14 août dans la revue Psychological Science.

Langage et logique : les cas des éléments à polarité négative et des implicatures scalaires

Jury :

David Barner (University of California San Diego, rapporteur)
Gennaro Chierchia (Harvard University, rapporteur)
Angelika Kratzer (University of Massachusetts, Amherst)
Lyn Tieu (Western Sydney University)
Emmanuel Chemla (Ecole normale supérieure, directeur de thèse)
Benjamin Spector (Ecole normale supérieure, directeur de thèse)

A new look at joint attention and common knowledge and their role in coordination

There is still surprisingly little agreement about what exactly joint attention is. Part of the problem is that joint attention is not a single process, but rather it includes a cluster of different cognitive skills. First, I outline a typology of joint attention levels along with corresponding levels of common knowledge. I argue that it is useful to distinguish several levels because they have different consequences in terms of what kinds of interactions they support.