Plusieurs études avaient déjà démontré que les enfants ayant un aîné ont de moins bonnes performances linguistiques que ceux n’en ayant pas. Mais une équipe de recherche du CNRS, de l’hôpital Robert-Debré AP-HP, de l’EHESS, de l’ENS et de l’Inserm vient de préciser ce résultat : il ne concernerait que les enfants ayant un frère aîné. Ces travaux ont été publiés le 14 août dans la revue Psychological Science.
Voir le communiqué de presse du CNRS
Bibliographie :
The effect of siblings on language development as a function of age difference and sex. Naomi Havron, Franck Ramus, Barbara Heude, Anne Forhan, Alejandrina Cristia et Hugo Peyre. Psychological Science, le 14 août 2019.